Loin, c'est près (3/3)

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Après les bases de données, les revues.

Pour les @revues, même système que pour les BDD, sur la page des @revues du site web, et avec une seconde petite ruse : le préfixe serveur distant est (si accès hors campus) rajouté directement au frame de l’abécédaire SFX et du coup (après l’authentification initiale), à tout URL qui apparaît dans ce frame.

Avantages : l’usager fait comme d’habitude, qu’il soit in ou off. L’accès distant n’est pas un accès “exceptionnel”, c’est un accès de plus, normal (c’est ce que c’est, non ?)

Inconvénients (c’est le quart d’heure d’autocritique)  :

  • Esthétiquement, la fenêtre d’authentification s’affiche dans le frame et ce n’est pas très gracieux, mais on finira bien par trouver une solution.
  • Le code des éditeurs n’est pas toujours nickel (comme le fait fort justement remarquer Lully ici) et parfois, la réécriture relève de l’invention poétique
  • Plus embêtant, les revues des bouquets OAI, qui ne sont pas déclarées dans Biblio-PAM (vous imaginez le boulot, rentrer 6000 urls à la main et les maintenir ? Très peu pour moi, merci, je ne vis pas au 19ème siècle) mais sont appelées par le frame avec le préfixe serveur distant, ne sont pas accessibles, du coup, via l’abécédaire, à distance (Biblio-PAM, fort logiquement, puisqu’elles ne sont pas déclarées, ne les rejoue pas). Certes, ce sont des ressources gratuites accessibles par ailleurs, mais ça déstabilise l’usager et ce n’est efficace. Heureusement, nous sommes sur des pistes, avec Alixen. En gros, l’idée est d’exporter toutes les urls des “bouquets” OAI depuis SFX et de les faire avaler massivement à BiblioPAM. L’export et l’ingestion presque automatique des urls marche (thanks to lully pour le coup de main), mais à partir de là, BiblioPAM chauffe un tout petit peu. On cherche. Stay tune…

Voilà, fin de la série “La bib rentre dans ta turne d’étudiant”.

(MàJ du 11 mars 2009) Pour l’item 3 ci-dessus, solution finalement très simple : pour toute requête qui passe par PAM, pour laquelle PAM ne trouve pas de règle de réécriture, elle (la requête) est jouée sans être retouchée. Autrementdit, PAM renvoie directement toute requête vers une URL qui n’a pas été déclarée et reste donc “passif”. Du coup, dans le cas des bouquets OAI, une requête vers une URL du DOAJ part directement vers la revue et, comme ladite revue est en Open Access, ça passe et tout le monde est content. Voilà, le seul problème que nous avions avec PAM est réglé. Cool.

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