Nous avons enfin démarré le prêt des e-readers/livrels aux usagers, et il existe un cliché de ce grand moment. Ouf. Le démarrage a été bien plus compliqué que prévu (retards de livraison, problème de facturation, et les machines sont arrivées en mai, quand les étudiants étaient déjà presque tous partis – et puis, il a paru utile de prendre le temps de laisser les readers entre les mains des collègues pour qu’ils voient de quoi il retournait).
Mais ce retard dans la mise à feu a eu un avantage : cela nous a laissé le temps de voir naître l’offre publie.net et de choisir de l’expérimenter.
Donc : les livrels ne sont plus prêtés remplis de textes classiques libres de droits, comme nous le pensions d’abord. Nous avons décidé de les mettre en prêt avec les textes de littérature contemporaine qu’édite l’équipe de publie.net.
On le voit, le positionnement change du tout au tout puisque la bibliothèque devient de fait un support et un soutien à une nouvelle forme d’édition. La nouveauté est donc double, à la fois dans le contenant, le livrel ; et dans le contenu, les textes inédits. Miam miam…
Cela pose quantités de questions et interroge la bibliothèque dans son fonctionnement. Mais nous en reparlerons sans doute.
Longue vie aux tablettes et bravo [merci] d’avoir saisi l’offre de François Bon
..et bientôt celle de Gallimard ?
que faites-vous de Numilog ?
@mercure : nous ne sommes pas convaincus par l’offre numilog, pour l’heure. A eux de nous prouver le contraire…
Et c’est bien plus intéressant de soutenir l’édition contemporaine, non ? 🙂
Il faudrait y mettre tes oeuvres, non ? ça serait une bonne occasion…
@Gaëlle : naaan, pas de mélange des genres.
@Daniel : d’autant que les couples infernaux format/tablette pourraient nous jouer des tours …
@Mercure : ouep, nous sommes dans le brouillard 🙂