Les Disparus

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Il abandonne la lecture des Disparus de Daniel Mendelsohn (prix Médicis 2007 du roman étranger). Trop épais, trop dilué, trop bavard…

Il se souvient par contre avec grande émotion du livre de Patrick Modiano, Dora Bruder, qui traite de thématiques proches (la mémoire, et la recherche de figures disparues, effacées par les Nazis) avec beaucoup plus d’intensité et moins de mots.

Less is more.

0 thoughts on “Les Disparus

  1. “Les disparus” gît dans la pile des livres “en cours de lecture”, un tempo dans lequel il est vraiment difficile de se plonger, malgré tout l’intérêt du sujet.
    J’ai pour ma part mis (charitablement) mon abandon (provisoire) sur sur le compte de la qualité de la traduction.

  2. p. 252 pour ma part… les passages en italique m’ont énervé, c’est pas bien ! Dans le genre ramassé et “massue”, je te conseille Aharon Appelfeld, Histoire d’une vie, par exemple.

  3. Un autre point de vue, entre “rire” et émotion, le roman d’un auteur de la génération “d’après”, : “Les gens indispensables ne meurent jamais” d’Amir Guttfreund.Ou comment les générations suivantes vivent avec “ça”.
    Et toujours la frustration de lire cela en traduction.
    Pour faire bonne mesure je prends aussi une dose du mastoc “L’Allemagne nazie et les Juifs” des faits, des faits et encore des faits.

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