
Vidéo trouvé sur La Feuille, que je reprends parce que quelque chose me frappe : le projet ne part pas de la bibliothèque, mais de la cible, l’usager, et de ses seuls besoins.
Pourquoi avons-nous autant de mal à nous décentrer pour nous rapprocher des usagers et partir de leurs besoins, quels qu’ils soient ? Pourquoi ne pensons-nous pas en termes de services ? Pourquoi amenons-nous nos usagers à nos outils et nos habitudes alors qu’il faudrait faire exactement l’inverse, nous mettre à leur service ?
PS : Est-ce que quelqu’un sait comment l’on demande l’asile bibliothéconomique au Danemark ??
[youtube id=”ixsOLvLSARg”]
Est-ce que cela serait vraiment impossible en France ? Non, je crois que cela tient beaucoup à la volonté des bibliothécaires… et à leur mentalité… C’est vrai que cela fait rêver !
Sinon, tu peux toujours proposer une association/parrainage/collaboration/jumelage avec cette bibliothèque !
@jean-charles : suis d’accord à 200 % avec toi…
Oui bon, l’herbe est toujours plus verte ailleurs… Mais franchement, t’as déjà testé le vin du Danmark ?
Si, si ça doit exister!… Tout est une question de point de vue ! Dès lors que l’autre y est associé, il trouve sa place dans le système (notre système?). Et les possibles se multiplient, s’intensifient… Mais cela menace-t-il le monopole, le contrôle ou le pouvoir que les bibliothécaires ont sur les lieux, les outils, voire les personnes?