Mon libraire en ligne de quartier

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Dimanche 15 mars 2009 / 14h30 / G. Fiani, Electre / S. Michalon, ePagine, Titelive / D. Mollat, Mollat Bordeaux / J Pirlot de Corbion, Chapitre.com / K. Papillaud, journaliste, animatrice

[notes vraiment en vrac]

J. PdC : qu’est-ce que la librairie en ligne peut apporter de plus ? Logique de services (Internet : 6 % du marché en France) Gros investissements de départ. Met la barre de “réussite” des livrels sur le marché à 60 euros. Relayera toutes les offres numériques que les éditeurs pourraient proposer. Ne croit pas à l’avenir du PoD… (Incroyable). Les libraires en ligne n’ont pas le monopole.

D. Mollat : Site comme complémentarité du site physique ; projet de Ask a libraire sur le site ; blog / 80 à 85 % des ventes sur le site Mollat servie par le stock local. RH : travail en ligne intégré dans les pratiques quotidiennes. Site comme ‘recette’ pour tester des rapprochements physiques in RL. Portail des librairies françaises. Question Amazon/Kindle multiplicité des formats nécessaires pour éviter les impasses. Au long terme, les libraires ont de l’avenir. Souligne pour finir l’importance de la relation sociale).

G. Fiani : Cercle 1847 ; feuilletoir sous forme de widget. Il n’y a plus de librairies de quartier… Ne croit pas beaucoup au livrel comme support.

S. Michalon : Accompagne éditeurs/libraires pour leur permettre de vendre du livre sous fichier numérique. Amener au libraire un module qu’il peut implanter facilement pour vendre. PoD sans problème, mais l’éditeur doit diffuser le fichier numérique. Livrel : les prix vont baisser. Expérience service de presse sur nouveautés dans Cybook. Les bibliothèques prêteront, c’est certain, des livres sur livrel.

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