And in my Backoffice ?

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Après ça, je me suis dit que d’aucuns se demandaient peut-être ce que De Tout Sur Rien représentait, comme temps de travail et manières de faire (je ne parle pas de technique, je suis hébergé chez WordPress pour n’avoir à m’occuper de rien – eh oui, je suis une feignasse).

Voici donc quelques détails sur ma pratique bloggique :

  • Je travaille en continu, i.e. que j’ai normalement plusieurs idées de billets potentiels en gestation dans mes brouillons sous la forme de quelques mots ;
  • Je rédige ensuite d’un seul coup chaque billet, j’y reviens très peu, me contentant de le relire un ou deux jours avant sa publication programmée pour vérifier l’orthographe et les liens. Mes éventuelles corrections se limitent normalement à ça et je ne reviens presque jamais sur un billet, surtout s’il a été pondu sur un coup de sang (le sang se boit froid) ;
  • J’aime à avoir des articles d’avance, programmés, et qui sont publiés sans moi par la “magie” de WordPress : en vitesse de croisière, j’ai au minimum deux semaines d’avance (soit quatre billets selon mon nouveau rythme), mais je préfère avoir un mois sous le coude, ça me rassure ;
  • Je n’hésite pas à poster un billet non prévu si quelque chose me semble le justifier (nouveauté révolutionnaire dans mon domaine professionnel, coup de coeur, guerre thermo-nucléaire globale) ;
  • Je peux également bousculer l’ordre général des billets prévus, mais je ne retire rien. Dans ce cas, l’interface de WordPress ne me facilite pas beaucoup les choses : je rêve de la possibilité de pouvoir bouger les dates de publication par un simple glissé sur un agenda (avis à Mr WordPress) ;
  • J’évite de poster pour signaler une nouveauté déjà repérée dans la biblioblogosphère française ;
  • La très très grande majorité de mes billets est rédigée en dehors de mon lieu de travail officiel, sauf si je bloggue en “live” sur de l’événementiel professionnel ; ou si je note une idée à la volée.

Concernant les commentaires :

  • Je suis averti de leur dépôt par mail : je les valide normalement dans la foulée, excepté lorsque je flaire le malfaisant. Dans ce cas, je prends  quelques minutes pour faire une ou deux vérifications ;
  • J’essaie de répondre systématiquement à chaque commentaire. Dans la vraie vie, lorsque l’on me parle, je réponds. Le Net, c’est la vraie vie et j’ai pour habitude de répondre a minima à mes invités.

Voilà. Pour ce qui concerne la question du temps que représente l’alimentation et la gestion de ce blog, j’avoue que je n’en ai aucune idée. Désolé. Il faudra qu’un jour, je prenne le temps de quantifier ce temps 😉

Et vous, comment faites-vous ? (mine de rien, je lance une chaîne non-nominative…)

PS : ce billet a été rédigé le 12 décembre 2008. Du fait des autres billets déjà programmés, il sera sur vos tablettes le mardi 06 janvier 2009. L’item n°3 ci-dessus se vérifie de fait.

0 thoughts on “And in my Backoffice ?

  1. Je suis très impressionnée par ton organisation très rôdée.

    Pour ma part sur Klog, je poste des billets quand l’idée me vient, et comme toi d’un coup je n’y reviens pas. Je ne programme sur plusieurs jours que quand j’ai plusieurs idées en même temps. Par contre je le fais de mon lieu de travail puisque je suis indépendante !

    J’essaie aussi de ne pas faire de doublons dans la blogosphère, dans la mesure du possible car parfois nous postons tous en même temps.

    Je tente d’avoir à peu près toujours la même “ligne éditoriale”, mais si par moments, les billets plus perso se font plus nombreux que les billets pro, c’est pas très grave.

    Et je tiens à ne pas m’y prendre au sérieux aussi.

    J’avoue que j’y ai pris goût, ça me manque quand je ne peux pas bloguer, et ça me force aussi à faire une “veille” régulière ce qui est bon pour ma pratique pro.

    Je suis aussi avertie des commentaires par mail, et j’y réponds quasi systématiquement…sauf si je n’ai rien à dire !

    Enfin quant au temps que ça prend…je dirai à la louche 3 heure par semaine ( y compris la veille).

  2. ah, je pense que ma veille me prends plus de 3 heures à elle seule… Je dois lire lentement… Du coup, si j’intègre la veille à l’activité de blog, ça rallonge le temps consacré à ça… Remarque, c’est d’autant moins de temps passé à faire des trucs sans importance comme… Euh… Regarder la TV 😉

  3. En fait quand je parle de veille, c’est juste la lecture de mon agrégateur.

    La vraie veille “pro”, j’ai du mal à la quantifier car c’est un peu tout le temps qu’on est en veille, non ?, quand on lit, quand on regarde la TV (eh oui un peu aussi bah alors, bonne excuse pour la regarder…), quand on fait n’importe quelle activité en fait.
    Même quand je dors, je rêve parfois à des outils TIC extraordinaires…rêves prémonitoires ? je l’espère car ds mes rêves c’est vraiment génial ce que j’arrive à faire.

    Euh…c’est grave docteur ?

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