Les ordinateurs portables ne poussent pas sur les arbres (2/4)

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Concrètement, les machines prêtées dans ce cadre sont des PC portables classiques de bonne tenue, achetés dans le cadre du marché qui nous lie à Dell, une petite entreprise familiale qui monte et que nous voulions modestement soutenir…

Ces PC tournent sous XP (effectivement, un GNU/Linux aurait été tellement mieux mais bon, on ne fait pas toujours ce que l’on veut) et sont configurés avec l’essentiel des programmes de base : Firefox, OpenOffice, un antivirus, un zippeur, un logiciel de gravure (ben oui, y’a un graveur, comme sur tout PC de base).

Nous avons fait le choix de les laisser ouvertes, ce qui veut dire que la personne qui bénéficie du prêt fait ce qu’elle veut, installe ce qu’elle veut : c’est SA machine pendant toute la durée du prêt. Le CRI nous a préparé un DVDDRQVB (DVD De Restauration Qui Va Bien) : au retour de la machine, on ratiboise tout et on redémarre le prêt suivant sur le système de départ.

Chaque PC a été affublé d’un code-barre, comme un livre. Nous avons une notice dans le SIGB, avec autant d’exemplaires qu’il y a de PC, et nous les prêtons donc exactement comme un bouquin : Bip (carte de lecteur de l’étudiant bénéficiaire) / Bip (code de l’ordi), et voilà*

* (en français dans le texte)

PS : et d’autres précisions dans les commentaires chez Olivier.

0 thoughts on “Les ordinateurs portables ne poussent pas sur les arbres (2/4)

  1. Heu… j’espère que t’as vendu tes actions Dell, parce que c’est plus la joie chez la firme de Round Rock (TX). cf. article du Monde du 9 septembre dernier. (plus dispo online, mais t’as Factiva je crois…)

  2. “exactement comme un bouquin”
    Attention quand même à ne pas passer tout ça au démagnétiseur 😉

  3. Pour notre part, nous prêtons près de 70 portable aux étudiants boursiers pour une période de 2 mois.
    Gros succès

  4. @dbourrion : voui, voui mais pour cela, encore faudrait-il une réelle volonté politique au niveau local, le courage d’exposer nos pratiques au regards de la profession, une plus grande liberté d’expression dans le cadre professionnel… c’est pas gagné 🙁

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