La ville comme un mal de ventre…

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Il lit cela dans Noir, de Robert Coover : ” La ville comme un mal de ventre. Le cauchemar urbain comme l’expression de la vie effroyable et vile des organes internes. Les sinistres gargouillis des entrailles. Voilà pourquoi nous construisons les villes de cette façon. Voilà pourquoi nous les aimons telles qu’elles sont même quand elles sont sales. Parce qu‘elles sont sales. Pleine de pisse, de crachats. Vides de sens et implacables. A ça nous pouvons nous sentir liés. “

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