L'OPAC et le nuage : LibraryThing (2/4)

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Dans la série Dans le nuage

  1. L'OPAC et le nuage : LibraryThing (1/4)

(PK dit à peu près la même chose, désolé pour les répétitions, nous ne nous étions pas concertés, nous ne savions même pas que l’autre bossait là-dessus)

Alors, pour ouvrir son OPAC à LibraryThing, il faut :

  • un OPAC web dont vous pouvez éditer les pages
  • un SIGB
  • un compte Bibliothèque chez LibraryThing (à ouvrir gratuitement )

Une fois le compte ouvert (il y a un tout petit délai, ces gens-là sont super-réactifs), vous exportez vos notices depuis le SIGB (différents formats sont possibles, nous avons pris pour notre test unitial le plus simple, soit un fichier à plat avec ISBN, Auteur, Titre – et c’est Céline C. qui nous a fait ça nickel chrome) et vous les faites avaler en ligne à LibraryThing for Libraries.

Ensuite, quelques lignes de code (en fait, une seule par widget soit, si vous activez les trois widgets proposés… ouiiiii, trois lignes de code) à intégrer dans vos pages OPAC et voilà, vous pouvez tester.

Si le test vous semble concluant, vous officialisez les choses avec LibraryThing qui vous facturera l’accès à sa base. Le calcul du coût (annuel) se fait sur la base du nombre total de vos notices avec ISBN ; des prêts sur l’année passée ; et des FTE Personnels dans la bibliothèque.

Dans notre cas et sans révéler de secret d’Etat, le montant annuel se monte à 1000 dollars US… Rien d’énorme, quoi, surtout avec le cours du dollar en ce moment. Tout SCD peut se payer ça…

Voilà. La prochaine fois, nous râlerons un peu contre l’outil, comme ça, pour râler.

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