Une année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.” La lueur que je diffusais s’est éteinte maintenant. Je continue, je descends la pente argileuse et tout m’est familier car dans l’obscurité il n’est pas de limite à l’espace intérieur. C’est en moi que je marche, je ne m’y perdrai pas.”
Jean-Loup Trassard, L’érosion intérieure