Des DVD à la pelle

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Le fonds de DVD de la BU Belle-Beille…

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Eh oui… Voilà voilà… Non, ce n’est pas un cliché pris à la BM locale…

Et pour les CD musicaux ? Ben je vais en reparler à mon CDVA (Cher Directeur Vénéré et Adoré – ici, tout se fait sans chichis) …

3 thoughts on “Des DVD à la pelle

  1. Pingback: De tout sur rien
  2. Mon cher Candide, il me semblait bien sur la photo liée à tes commentaires que tu fumais un bon vieux “6 feuilles”… j’ai maintenant la confirmation ! Allons, les CD… c’est dépassé ! On pourrait plutôt prêter des Ipod sur lesquels on chargerait des playlist idéales sélectionnées par nos soins par thème et niveau :

    Sélection Rock
    Sélection Pop
    Sélection New Wave
    Beatles vs Rolling Stones
    Chanson française
    Sélection classique
    Sélection Baroque
    sélection Opéra
    Sélection Musique du Monde

    On pourrait même passer des conventions avec certains labels pour qu”il nous filent gratos leurs titres ? Question subsidiaire quels seraient les droits à payer sur un titre payé en ligne qui sera prêté dans ce dispositif ? Autre question, comment protéger les Ipod contre le déchargement sauvage de ces titres ? Le plus simple serait peut-être de mettre en place des stations de chargements des Ipod perso des lecteurs avec des titres ou album achetés par le BU, un peu sur le principe des livres électroniques chargés par les étudiants sur leurs portables perso.

    CDVA

  3. Mon CDVA, c’est à de petits signes comme cela que l’on sent le naufrage de l’âge : avec mes XX ans passés, j’en suis encore aux CDs… quand les “jeunes” DVA pensent Ipod et tutti quanti…
    Je suis bon pour la casse, je le sentais, je le sais maintenant…

    Cela dit, pour essayer de rester encore dans la course, je vais me renseigner sur ces TJQ (Très Judicieuses Questions)…

    Mais à froid :

    – les Ipod prêtés pourraient être “offerts” par le label, qui se paierait sur les droits et le flux, en fait… -> pas d’achat d’Ipod pour la bibliothèque
    – la protection n’est pas possible, je crois (cf. les DRM moribonds) -> les droits pourraient inclure ce “risque” par le biais de quelque chose du type Licence Globale
    – Il ne faudrait quand même pas que le label se fasse trop de beurre sur les bibliothèques… Quel équilibre peut-on trouver en l’espèce, entre intérêts du label, et intérêts de la bibliothèque ?

    On retrouve le débat du P2P. La question du modèle économique en cause en ce moment dans le monde de la musique…

    [MàJ] des pistes sur le blog de mon excellent camarade de promotion,

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