Une année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.Dans la série Des chiffres et des Livrels
Cette fois, et après les stats d’emprunts, de jolis camemberts pour avoir les répartitions par catégories d’usagers (bon sang, je parle de plus en plus comme un bibliothécaire).
Comme pour les emprunts, Nicolas a séparé les emprunts ‘usagers standards’ des emprunts ‘personnels Bu’. La répartition est donc :
On remarquera que cette répartition ne correspond pas totalement à notre public : les étudiants de L, qui sont majoritaires en nombre, sont sous-représentés ici. Le jeune se contre-fiche du Livre, si ça se trouve… A moins qu’il ne vienne pas en bibliothèque.
Voilà lorsque l’on intègre les professionnels :
Les pros prennent une part importante, mais pas excessive (et il faut se souvenir que nous avons plusieurs fois sortis des machines pour les montrer à l’extérieur : l’emprunt pro a aussi servi à une acculturation hors SCD).
“Le jeune se contre-fiche du Livre”
En l’occurrence, il faudrait plutôt dire “le jeune se contrefiche du livrel”
ou, de manière moins définitive et plus optimiste, “l’étudiant en licence ne voit pas encore l’intérêt d’emprunter un livrel” (plutôt qu’un livre imprimé par exemple)
Pour des conclusions sur l’étudiant en L et le Livre(l), c’est plutôt le cumul des stat relatives aux emprunts de livres imprimés et de livrel qui ferait foi non?
Selon le résultat, on pourra se demander (ou pas) si l’étudiant a besoin d’emprunter des livres réussir sa licence.
“A moins qu’il ne vienne pas en bibliothèque”
Il faudrait ajouter “… pour emprunter un livrel”