Drame en 4 actes

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

En ce lundi de Pâques, une petite histoire :

  • Acte 1 : je repère ce matin sur Libération cette interview de Marin Dacos et je twitte derechef l’information ;
  • Acte 2 : deux de mes followers, MxSz et Trevok, me font remarquer fort justement que l’accès à cet article est réservé aux abonnés ;
  • Acte 3 : la BUA proposant Factiva, ce qui me donne un plein accès à ce papier, mon premier réflexe est de mailer aux deux followers en question le PDF tiré de Libération (ce qui rendrait à confirmer que je suis un pirate). Mais ne tenant tout de même pas à passer les trois prochaines années dans une geôle, je demande aux deux followers concernés si, par hasard, ils n’auraient pas accès, via la Bu dont ils dépendent, et légalement, à cet article ;
  • Acte 4 : il s’avère que les deux followers concernés, tous les deux très proches (c’est un euphémisme) des milieux universitaires et des bibliothèques, n’ont même pas pensé que leur bibliothèque pouvait être l’endroit où ils trouveraient à lire la vision que Marin Dacos peut avoir de l’Ipad.

Moralité ? Je vous laisse la tirer vous-même de ce qui précède. Pour ce qui me concerne, cette petite anecdote m’interroge sur la place que les Bu ont dans le paysage documentaire ; et sur le travail qu’elles ont à faire pour simplement devenir/rester visible – même pour ceux qui les fréquentent assidument.

8 thoughts on “Drame en 4 actes

  1. Hé hé hé.
    Pour apporter une petit précision. Je suis effectivement étudiant, en reprise d’étude. J’ai conservé des réflexes de jeunesse, d’il y a presque 10 ans, où je n’avais ni Internet ni ordi ^^

  2. @Olivier : ahhhh je déteste les happy end 🙁
    Bon, faisons contre ‘mauvaise’ fortune bon coeur : est-ce qu’on peut avoir des F16 qui passent sur le soleil couchant ? Merci à la prod.

  3. Déjà que mon e-réputation n’était pas au top…

    Je vais de ce pas m’inscrire à l’IUT de La Roche sur Yon.

  4. @MxSz : tu sais, on a tous fait ce genre de boulette, c’est ça qui est parlant. Je veux dire, avant de chercher un truc dans nos catalogues, on le cherche sur Google… C’est ce que ce drame est censé illustrer.
    Pour la Roche sur Yon, y’a un prof fou, facile à repérer, il porte un bandeau jaune 😉

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *