Une année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.Comme je m’étais engagé il y a longtemps, bien avant ça, et qu’il y a une part de pédagogique (les jeunes générations, l’espoir de la profession, tout ça) je suis intervenu ce jour à l’IUT des métiers du Livre de Bordeaux. J’y expose l’expérience de prêt de Livrels en route à la Bu depuis septembre 2008, et ce que tout cela m’inspire. Comme d’habitude, mon support est ci-dessous.
PS : les images de la présentation sont issues de Flickr et sont sous licence CC-BY-NC-SA ; elles sont toutes cliquables.
PS2 : très bientôt, des articles avec des vrais mots dedans, pour compléter mon propos.
La journée “Last one” n’était peut être pas là “Best one” (petit blues passager !) mais entendre de la part d’un conservateur – comme on en fait peu – qu’une bibliothèque peut être un terrain d’expérimentation, où on peut avoir des idées qui ne passent pas par 10 réunion de validation, et bien ça, ça fait du bien ! expérimenter, notamment avec ces nouveaux outils dont il était question cet après-midi, les proposer à nos lecteurs pour qu’ils patouillent, testent, se familiarisent…je crois que ça peut être un de nos rôles. Donner des moyens pour que la fichue fracture numérique ne s’élargisse pas encore avec ce nouveau mode de lecture. Si l’expérience est tentée, elle sera partagée, parce que rien ne vaut le vécu (même si les formats nous rattrapent toujours !). Merci pour l’après-midi “effet booster”.
@isa : merci à vous pour le commentaire plein d’énergie 🙂 Pas de blues passager, peut-être, une petite déception par rapport au fait que les livrels n’ont pas vraiment été pris en main chez nous en dehors de la bibnum – mais j’y reviendrai.