Lève-toi et marche

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.
  1. Partons d’un constat : les longues heures en BR – Bureau de Renseignements – nuisent à nos corps superbes, qui finissent par s’avachir.
  2. Ajoutons une hypothèse : le Renseignement doit se faire in situ, de manière dynamique, entre les rayonnages.
  3. Soulignons un point : un BR a besoin d’un ordinateur.
  4. Mélangeons, cherchons sur le net…

Et voilà l’outil idéal, qui nous permet de mettre en place, dès demain, le BRA : Bureau de Renseignements Ambulant.

Vite, à vos bons de commande…

12314

10 thoughts on “Lève-toi et marche

  1. Certes mais ça permettrait aussi de régler la question de la garde des enfants : ton bébé, tu le gardes au boulot, tu l’accroches juste avec l’ordi (et ça fera des bébés qui gazouillent, ça apportera un peu de vie).

  2. Reste que la démonstratrice semble penchée en arrière, non ?
    Mauvais pour les reins. 🙂

    Avec le bébé accroché dans le dos, on est à l’équilibre.

    Mais ce serait du sexisme. Alors pour les hommes, je propose, la mini-bibliothèque portative dans le dos, ou alors un panneau en bois vantant les derniers titres à la mode dans la bibliothèque.

    Toujours question d’équilibre.

    Pour le modèle proposé, j’ai l’impression qu’il reste bien lourd lorsqu’il existe plus léger.
    A moins qu’il n’y ait l’imprimante avec… :-)))

    Bien cordialement
    B. Majour

  3. Sachant que pour les anglophones un “bra” est un soutien-lolos, je laisse à la communauté des commentateurs le soin d’en tirer tous les commentaires imaginables…

  4. Il y a une dizaine d’année, en plein début de l’explosion du Net “grand public” sur modem 36K, il y avait eu une tentative de e-commerce interactif dans un grand magasin parisien (les galerie lafayette je crois ; en tout cas un des deux gros du boulevard Haussmann) : un jeune étudiant dynamique, webcam sur le front et portable de 10 Kg au porte-bébé, déambulait dans le magasin pour permettre au client de faire virtuellement ses emplettes. Le client lui disait où aller par messagerie instantanée (ça devait être mIRC ou un truc très 2.0 dans le genre).
    Je vois donc là l’occasion de franchir une étape supplémentaire dans la médiation, permettant d’aller au-delà du si banal catalogue en ligne. Et puis ça ferait de l’emploi pour nos jeunes-qui-vont-perdre-leur-année-à-cause-des-universitaires-nantis |o

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *