Le flacon et l'ivresse

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Intervention hier (oui, c’était le 01 avril, mais je suis resté sérieux ; et oui, il faudrait que je bosse un peu plutôt que de passer mon temps à me “promener”) à l’ESSCA Angers pour l’Assemblée générale de l’ACIEGE : il s’agissait de parler d’ebooks et surtout de livrels. J’ai essayé de faire une courte synthèse me permettant de montrer à l’assemblée forcément attentive que les choses ne sont pas simples, mais qu’il est amusant de foncer dans le brouillard.

11 thoughts on “Le flacon et l'ivresse

  1. En te lisant Daniel, je me rends compte que livrel, en tant que contraction de livre électronique, n’est pas adapté au lecteur (j’avais fait moi-même l’erreur il y a plusieurs mois) mais à l’ebook justement ; c’est je pense justement le mot qu’il faut pour remplacer cet angliscisme horrible de ebook. Les anglais n’utilisent d’ailleurs pas le terme ebook pour désigner la machine. Qu’en penses-tu?

  2. Peu de contenus spécifiques pour le livrel? Devant l’ACIEGE? Alors que plein de nouveautés de Dunod, d’Eyrolles-Editions d’Organisation, de Wiley, bref exactement ce que demandent les Écoles de Commerce, sont enfin disponibles en ligne ou en PDF, pour le Sony Reader si elles veulent ?? Vous vous êtes arrêté à la première ligne de notre catalogue?

  3. @Aldus : que tu as peut-être raison dans le fond, mais que j’aime bien livrel 🙂

    @guillaume :
    1. Je ne travaille pas dans une école de commerce, je travaille dans une Bu, je parle en mon nom propre et de mon point de vue : les contenus spécifiques livrels ne sont guère affriolants, et vendus à des prix sur lesquels j’attends des éclaircissements.

    2. Un contenu en ligne n’est pas adapté au livrel à cette heure, tant que les livrels n’ont pas évolué du point de vue en particulier de la connectivité.

    3. Et ne vous inquiétez pas, le business a eu droit de parole après mon passage.

  4. M’enfin je ne vous demande pas de faire de la pub, simplement d’être honnête: si vous parlez des livres numériques en français, au moins dire que les catalogues progressent et que ça travaille dans le bon sens.

  5. @guillaume : oui mais ce n’est pas le sentiment que j’ai. Donc très honnêtement (merci de m’indiquer que je ne le suis pas), je le dis. Peut-être que je me trompe, que je manque d’informations, que je suis difficile, grognon, je ne sais pas. Je trouve juste que ce que j’ai pu voir pour l’instant n’est pas très excitant et trop cher par rapport au papier, alors je pense avoir le droit de le dire ici. Et le jour où je serai convaincu par l’offre, je le dirai aussi.

  6. Entre nous la balle me semble surtout dans le camp des éditeurs… Mais si vous en croisez : qu’ils sortent leurs bouquins en papier et en numérique en même temps ; et que le numérique coûte enfin son juste prix, ça ne tuera pas le papier, ça leur ouvrira un nouveau marché (enfin, moi, ce que j’en dis).

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