Juste au-dessus d’une voie de métal poli, à 300 km à l’heure mais nulle part, il demande au temps lourd d’ouvrir des jours pour retrouver ce qui n’a nul nom, nulle figure. Ce qui défile dessous et qui glisse dehors, flou à même toute palette, est le monde bruyant, engrenage de rien qui tourne heureusement…Continue reading Des trains à travers la plaine