Back in the Backoffice (1/2)

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Après le directeur de la rédaction qui a donné des détails lors du lancement, je remets une couche pour expliquer le comment et montrer que c’est facile :  ce billet vous convie donc à une visite “technique” guidée dans les coulisses de bua’bloc.

  • Le moteur de blog utilisé est WordPress, que nous avons installé sur le serveur de la Bu (temps d’installation du bloc moteur : dix minutes montre en main sur une config Apache/Php/MySQL que l’on trouve maintenant de manière très courante – votre serveur web tourne certainement sur cette base)
  • Le thème graphique en place est un custom d’un thème nommé Ad Clerum : nous avons changé les images d’en-tête et adapté les couleurs à la charte graphique du site de la Bu (plusieurs heures de travail – mais l’on parle d’heures, pas de jours ou de mois de travail…)
  • WordPress a été augmenté de quelques plugins gratuits, dont voici la liste et la fonction (certains ne sont pas actifs pour l’heure) :
    • 4Avatars / assortir les commentaires de petits avatars rigolos
    • Askimet / gérer (très bien) les spamms de commentaires
    • ChunksURL / réduire les URLS dans les commentaires
    • flickRSS / pousser sur bua’bloc les clichés issus du chantier de St-Serge et déposés sur Flickr
    • Fresh Comments / mettre en valeur les commentaires récents en sidebar
    • Future Calendar / avoir une vision claire en backoffice des billets en publication programmée
    • Google Analyticator / permettre l’analyse du trafic via Google Analytics
    • In Series / gérer des séries d’articles liés
    • Maintenance Mode / mettre le blog en mode maintenance
    • View Mobile / rendre le blog lisible sur PDA, iPhone, etc.
    • WordPress Stats / avoir d’autres stats encore
    • WordPress Automatic Upgrade / passer facilement à une nouvelle version du moteur
    • WP-Polls / lancer des mini-sondages sur le blog
    • Wp-Cumulus / faire apparaître les tags sous forme dynamique (actuellement en test sur bua’bloc)

Une fois que tout est installé, la maintenance consiste simplement à upgrader le moteur et les plugins lorsqu’une nouvelle version apparaît :

  • Pour Worpdress, le plugin WordPress Automatic Upgrade fait ça tout seul, avec une efficacité absolument redoutable : il n’y a rien d’autre à faire que cliquer pour confirmer les différentes étapes, et l’upgrade prend quelques minutes tout au plus.
  • Pour les plugins, l’interface de gestion du blog signale les nouvelles versions, et la mise à jour, en fonction de vos droits sur le serveur, se fait également automatiquement ou, au pire, consiste à télécharger la version la plus récente du plugin et à la déposer via FTP sur le serveur.

Voilà. J’estime le temps de maintenance technique (en comptant large) à une heure/quinzaine. S’y ajoute le temps de gestion éditorial. Je reviendrais là-dessus une autre fois.

9 thoughts on “Back in the Backoffice (1/2)

  1. Correction sur le plugin Zotero : il ne permet pas de générer des COinS à partir de données bibliographiques stockées dans la page, il structure un COinS pour décrire le billet lui-même, encapsulant dans une balise span les métadonnées du billet (auteur, date, article, etc.). Ca fait apparaître un lien OpenURL complètement inutile, mais c’est surtout conçu pour récupérer toutes ces métadonnées dans Zotero.
    D’où la petite icône particulière qu’on retrouve dans la barre d’adresse de ce billet, par exemple, alors qu’on ne le trouve sur aucun de tes brillants posts.

  2. Superbe post, il est rare qu’on aborde la question du temps dans la mise en place des sites de nos bibs et la simplicité de déploiement des outils reposant sur des solutions libres laisse pantois. Il est regrettable que beaucoup de directions informatiques (dans les collectivités territoriales, notamment) n’aient pas pris en compte ce paradigme encore.

  3. @François – entièrement d’accord. Je reste toujours sur le cul quand (comme tout récemment encore) je vois qu’une DI découvre le nom même de WP.

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