L'oignon est-il numérique ?

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Rien d’absolument nouveau, puisque nicomo en a déjà parlé du temps de son défunt blog. Mais je profite de l’annonce d’une nouvelle implémentation de Xerxes pour noter deux trois choses (ceci m’est réservé, merci d’aller lire ailleurs) :

  • Xerxes est un custom de Metalib, le moteur de recherche fédérée d’Ex-Libris
  • Puisqu’il lui rajoute des fonctionnalités, Xerxes est aussi une surcouche à Metalib
  • Lequel Metalib est une surcouche à, par exemple, un catalogue de bibliothèque et/ou des bases de données
  • Ces dernières étant par ailleurs des surcouches aux revues

Tout cela s’emboîtant comme des… pelures d’oignons. La bibliothèque numérique, finalement, c’est un oignon.

Qui fait pleurer quand on l’épluche : ces outils sont développés par des bibliothèques et/ou des universités pour des bibliothèques. Mais sacrebleu, comment font-ils pour avancer aussi vite ?…

0 thoughts on “L'oignon est-il numérique ?

  1. Réponse? Ils ont une volonté politique très forte, ils mettent les moyens. Xerxes c’est une développeur à temps plein, pendant presque un an.

  2. Ceci étant le projet Xerxès a des implications importantes “under the hood”, parce qu’il fait aussi des connexions sur les web services d’oclc, etc. Donc le travail du développeur ne se limite pas à l’interface Xerxès, mais s’étend à la mise en place d’une infrastructure de connecteurs et d’outils.
    Enfin, c’est 1 développeur partagé par les 11 campus de l’université de Californie, ce qui reviendrait presque à dire un développeur pour plus ou moins la moitié des BU françaises: proportionnellement, c’est un investissement raisonnable.

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