L'OPAC et le nuage : LibraryThing (1/4)

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

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  1. L'OPAC et le nuage : LibraryThing (1/4)

Je ne reviens pas sur LibraryThing, le net et la blogosphère vous donneront plein de renseignements. Et puis le mieux, c’est encore de s’ouvrir un compte chez eux pour comprendre tout l’intérêt de la chose.

L’une des fonctionnalités très intéressantes de LibraryThing à destination des bibliothèques, c’est une série de petits widgets que l’on peut insérer dans le code de son OPAC pour voir apparaître, lorsque l’on se trouve sur la notice d’un document :

  • un nuage de tags, lesquels tags sont ceux que les personnes inscrites à LibraryThing ont accolés au document en question
  • des recommandations, construites par croisement à partir des bibliothèques personnelles des usagers de LibraryThing
  • d’autres éditions et traductions (oui, une sorte de FRBR…)

Vous vous dites, mais pourquoi il nous parle de ça ? Pk, lui, le teste déjà.

Ben, parce qu’on l’a fait : LibraryThing est officiellement dans notre OPAC et nous avons signé avec eux (je passe en gras pour PK, ça lui permet d’aller à l’essentiel)… Vous voulez voir ? Suivez Harry Potter ou Emile Zola et jouez avec le nuage !

La prochaine fois, je vous raconterai comment on fait, et pourquoi on peut le faire.

PS : j’avais prévu ce blogging-out mercredi, mais j’ai trop envie de faire bisquer PK 😉

0 thoughts on “L'OPAC et le nuage : LibraryThing (1/4)

  1. Bon, ça va encore déchaîner les passions ce post… encore un gadget pour être le prem’s et faire moderne, séduire quoi !

    Ce qui va clairement poser problème à notre culture professionnelle, ce n’est pas tant le tagage alternatif (par des tiers ou systèmes extérieurs) de nos outils professionnels (quoi que… difficile de se faire hara-kiri quand même), mais l’introduction d’éléments subsidiaires et aléatoires dans des environnements qui se pensaient jusque là comme systématiques, homogènes et exhaustifs. La vrai question n’est pas tant le tag, et plus largement les évolutions 2.0, que le caractère entropique de ces dispositifs dans des outils habituellement sous (notre) contrôle et régis par la loi du tout ou rien.

  2. Je constate avec plaisir que lancer des défis portent ses fruits… 😉

    Tu pourrais nous éclairer sur les coûts… et comment tu fais pour payer à l’étranger? Merci d’avance.

    @Tacheau: ces derniers temps, je me pose la question sur l’avenir de nos OPAC voire de nos SIGB. Quand on passe un code-barre commercial de livres dans G..gle, on tombe tout de suite sur la notice commercial du livre. Pourquoi s’em.. avec des logiciels…

  3. @OT : “des environnements qui se pensaient jusque là comme systématiques, homogènes et exhaustifs” : qui se rêvaient comme tels, tu veux dire… Et n’ont jamais compris que l’entropie est constitutive de l’univers 😉

    @XG : Explications techniques et coûts arrivent dans billets prochains… Mais pour payer à l’étranger, ben on fait comme d’habitude, comme avec tous nos fournisseurs anglo-saxons : une facture en dollars (très favorable pour nous en ce moment), ça passe à l’agence comptable qui fait un virement, et voilà…

  4. @dbourrion: c’est vrai que les BU ont certainement déjà plus l’habitude de payer à l’étranger mais pour notre collectivité, je crains le pire.

    J’attends donc le billet suivant avec impatience. Blog au lieu de twitter. 🙂

  5. @Xavier G. : faut pas déconner, une collectivité peut payer une facture à l’étranger… Tu ne me feras pas croire qu’à Mulhouse, on ne paie jamais quelque chose en Allemagne… Donc les services comptables savent faire, même si les USA ne sont pas en Europe 🙂

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