Des chiffres et… des chiffres et… des chiffres…

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Le CAQME a commencé à dépouiller l’enquête Libqual + sur son blogalui.

Y m’a mis des chiffres partout dans le bureau, on peut presque plus poser ses fesses ! Passez lire ça, et faites moi un résumé, les stats et moi, c’est pas l’amour fou.

Ah si, j’ai retenu un truc : 28 %

0 thoughts on “Des chiffres et… des chiffres et… des chiffres…

  1. Une version Wii du questionnaire et de 28 vous passiez à l’aise la barre des 90 % 😉

    Plus sérieusement, est-ce que ça ne risque pas de remettre en cause la démarche ? Observe-t-on des taux “d’abandon” similaires dans les autres établissements ayant participé à l’enquête ?

  2. daniel, je me permets de répondre. Tu ne m’en voudras pas 🙂

    @Aurélie : ou une Wii comme lot (mais nous aurions eu une sur-représentation des jeunes mâles).

    “Remettre en cause la démarche” : je ne pense pas, elle a fait ses preuves depuis 2000. Mais ça interroge sérieusement sa réception par le public et les manières de faciliter cette réception.

    Je n’ai pas d’info sur les autres participants. Le fichier excel d’où j’ai sorti ce chiffre n’ai disponible que pour son établissement. Mais je solliciterai les collègues via la liste de discussion et le wiki Libqual-fr.

  3. D’une manière générale, les taux de non-réponse aux questionnaires, tout type confondu, sont très élevés. Tellement élevés que ce sont des données que les instituts de sondage ne révèlent pas. C’est littéralement top secret.
    Quand on sait déjà que les taux d’abstention (= refus de répondre, pour une enquête comme LibQual) à un événement présenté comme aussi important qu’une élection peuvent atteindre plus de la moitié des inscrits, on peut considérer que 28% est un chiffre, en valeur relative, très satisfaisant. Surtout pour un lieu (la BU) dont globalement tout le monde se fiche.
    L’analyse des non-réponses, qui peuvent être appréhendées par le biais d’une enquête qualitative secondaire, peut peut-être en apprendre beaucoup sur la perception qu’ont les usagers de la BU.
    Au niveau méthodologique, un prof de science politique, P. Lehingue, a écrit un livre sur le sujet. C’est de la très bonne sociologie critique:
    http://atheles.org/editionsducroquant/subunda
    IL n’est semble-t-il pas encore dans les rayons des bibliothèques d’Angers, mais ça ne saurait tarder. Non ?

  4. Mais du coup, est-que cela n’invalide pas (ou ne fausse pas, à tout le moins) les résultats ?

    On peut penser que les personnes ayant commencé à répondre au sondage ne sont déjà pas forcément représentatives de la communauté des lecteurs et que les 28% l’ayant achevé encore moins (d’ailleurs, ces 28% d’une fraction des lecteurs, cela fait combien de personnes ? Si moins de mille, les résultats seront à prendre avec des pincettes).

    Votre échantillon vous semble-t-il représentatif de vos lecteurs en ce qui concerne les caractéristiques externes (age, niveau d’études, sexe, matière étudiée etc.) ?

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