Ondes

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Lors des dernières journées d’études/de travail auxquelles j’ai pu assister, j’ai remarqué qu’il n’est pas toujours possible d’accéder à un wifi dans la salle où l’on travaille/réfléchit/échange.

Or le wifi, c’est l’accès au réseau, c’est comme l’air autour de nous : c’est un élément incontournable… Pour ce qui me concerne, je me contrefiche que l’on me donne une jolie plaquette, un stylo, des trucs à manger, je ne sais quoi. Par contre, je suis ravi de trouver un accès ouvert, et officiellement ouvert, parce que le réseau est mon/un véritable outil de travail.

Donc, (appel aux organisateurs de tout évènement à venir) : pensez à ouvrir le wifi et ses accès !!

C’est d’autant plus facile que nombre d’endroits sont déjà arrosés, par exemple par le wifi d’une université. Il suffit donc d’obtenir des tickets temporaires, une ouverture temporaire, que sais-je encore (c’est un problème d’informaticiens, pas de bibliothécaires : notre problème, c’est de penser à demander que cet accès soit ouvert…)

PS : on va encore me dire que je suis un geek. Mais franchement : vous partez à une conférence ou un colloque sans papier, sans stylo ? Eh bien, le net, et l’accès au net, c’est le stylo, le papier d’aujourd’hui et de demain.

0 thoughts on “Ondes

  1. Oui, mais on a de plus en plus tendance à enlever les bornes Wifi dans les bibliothèques (et bientôt les universités ?).

    Alors, comment vas-tu travailler ?

    Et pourquoi y a-t-il toujours ce grand espace blanc avant les commentaires dans tes posts ?

    Gros bisous

    David B.

  2. @David B. : c’est pathétique, ce mouvement de retrait des bornes wifi dans les bibliothèques… Si ça continue, il y aura bientôt du wifi partout, sauf dans les bibliothèques… Comme il n’y aura plus de lecteurs non plus, nous serons entre nous, assis sur nos tas de livres… Pathétique (oui, je suis en colère). Quand je vois le nombre d’étudiants qui utilisent le wifi, on voudrait vider les Bibs et envoyer les étudiants/usagers chez Mac Do ou Starbucks que l’on ne ferait pas autrement…

    Mais on ne me fera pas taire 😉 J’utiliserai le 3G ou le bon vieux truc des deux pots de yaourts avec une ficelle.

    Pour le grand espace blanc, ce doit être pour conjurer l’angoisse de la page blanche…

    Et pour les gros bisous : nous avions convenu de ne pas étaler nos turpitudes sur le net… Trop tard…

  3. C’est quoi cette histoire d’enlever les bornes wifi ? C’est encore un poisson de mars (mai/septembre etc.) ou il y a réellement des gens qui pensent qu’on peut de nos jours travailler sérieusement sans internet ?

    Enfin, tu me diras, il y a encore des bibliothèques qui ne disposent pas d’une prise de courant à chaque place… on se croirait dans le train…

    RM

    PS : Je suis choqué par tes turpitudes Daniel. Je ne croyais que tu ne tombais dans le stupre, la luxure et la fornication qu’avec moi.

  4. @RM : pour les bornes wifi, malheureusement, ce n’est pas un poisson et c’est bien triste.

    Pour mes turpitudes, est-ce que tout le monde peut cesser d’en parler sur le net, merci… 🙂

  5. Lors d’une conférence, n’est-on pas sensé plutôt écouter les conférenciers ? Lors d’une journée d’étude, n’est-on pas plutôt sensé travailler avec les gens présents ? C’est partout comme ça : des gens causent pendant que d’autres (leurs “auditeurs”) répondent à leur mails.
    J’ai du mal à saisir où est l’enjeu “d’avenir” là-dedans, pardonne-moi 😉

  6. @Anne : il suffit d’être multi-tâche… On peut suivre un conférencier et blogguer son intervention en même temps ; ou simplement, prendre des notes sur ce qu’il dit dans, par exemple, google docs, ce qui suppose encore d’être en ligne (bien que cela devrait changer bientôt).
    Rien de nouveau dans tout cela : la plupart des gens font déjà du multi-tâche même sans wifi puisqu’ils bavardent entre eux… 😉
    Pour le travail en journée d’étude, c’est pareil. Encore une fois, mon ordi est mon stylo, et le net est ma feuille (oui, c’est un très gros cahier 😉 )

  7. Comme alternative au Wi-Fi, dans les bibliothèques, si on décide qu’on respecte le principe de précaution (rapport aux méchantes ondes, dont on ne sait pas trop encore si elles sont réellement méchantes), il y a le courant porteur en ligne : avec des petits boîtiers (que les bibliothèques pourraient mettre à disposition de leurs usagers s’ils n’en ont pas eux-mêmes) on fait passer la connexion adsl par les lignes électriques.

    Encore faut-il qu’il y ait une prise de courant à chaque place, comme le fait remarquer RM…

    Quant aux journées d’études, l’accès internet, oui, ça me semble logique. Ne serait-ce que pour vérifier une information, surfer sur le site en même temps que l’intervenant qui en fait la démonstration, etc…

  8. Je confirme: dans ma bibliothèque aussi on a une très forte opposition au wifi, au point que les bornes ont dû être déplacées et ne desservent plus la salle de lecture principale, mais seulement deux petites salles…

  9. @Marion : et les ondes du Wifi s’arrêtent aux murs, alors ? Très drôle et très fort. M’enfin, comme le disait le boss encore hier, avec une bonne signalétique, tu fais faire aux ondes ce que tu veux… 😉

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