Une année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.
Suite à des circonstances indépendantes de ma volonté, comme disait Denise Fabre, j’ai passé plusieurs journées d’août dans ma BU vide du fait de la fermeture estivale. Je conseille à tout le monde de faire ce test, passer une journée d’été dans une bibliothèque totalement vide : c’est une expérience quasi mystique…
Tout cet espace inutilisé m’a frappé. Que pourrions-nous en faire ? Est-il « logique » de laisser vide de telles surfaces ? Alors je propose, en vrac :
- d’ouvrir les bibliothèques vides aux centres aérés, les enfants vont adorer
- d’ouvrir les bibliothèques vides aux maisons de retraite, les vieux vont adorer
- d’appliquer les deux propositions qui précèdent en même temps, tout le monde va adorer
- d’organiser des stages zazen dans nos murs
- de se servir de ces endroits pleins de recoins pour de grands combats de paint-balls (les bibliothécaires ne vont pas adorer…)
- de ne jamais fermer nos bibliothèques, non plus que nos universités 😉
MDR !
Euh je ne plaisante qu’à moitié (le tout étant de savoir sur quelle moitié…)
Excellente idée.
Nous aussi on a fermé cette année, mais pour un grand remue-ménage de livres, assorti d’un méga pique-nique dans la salle de sciences/vie pratique. On devrait pique-niquer plus souvent dans la bibliothèque, avec des enfants, des papis, des mamies, et même des éduc’ de centre aéré 😉 !