Candide et le conservateur (4)

closeUne année au moins est passée depuis la publication de ce billet qui peut donc contenir des informations un peu datées.

Candide : Pourquoi est-ce la présence d’un bibliothécaire/conservateur est nécessaire pour biper mon livre quand je l’emprunte ? Un automate suffirait, non ?

Le conservateur : Parce que bibliothécaire/conservateur, c’est un vrai métier qui exige des personnels hautement qualifiés

Candide : Des personnels hautement qualifiés en “scan” de code-barre ?

Le conservateur : …

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0 thoughts on “Candide et le conservateur (4)

  1. J’ai croisé la route de bon nombre de conservateurs territoriaux, s’ils effectuaient 1 heure de service public par semaine cela relevait pour eux d’un exploit considérable…
    L’automatisation se développe avec ses avantages (moins de service public pour les agents/assistants, un temps qu’ils pourront certainement mettre à profit dans d’autres tâches) et ses limites peu attrayantes (déshumanisation des bibliothèques). Quoi qu’il en soit, les automates ne semblent pas actuellement capables de régler les litiges qui ne manquent pas d’apparaitre lors des opérations de prêt ou de retour…

  2. Certes, mais tout peut changer, non ? (même les conservateurs… Sinon c’est à se pendre…)
    Pour les automates, en cas de litige, un humain sera toujours là pour humaniser les choses, j’en suis certain (après tout, 99,99 % d’entre nous retrirent leur argent liquide dans un distributeur automatique, sans aucun souci. Et quand le distributeur avale notre carte, eh bien, on va voir l’humain dans la banque 😉 )

  3. Ben un automate de prêt, ça coûte plus cher qu’un bibliothécaire, et ça ne fait qu’une seule chose, alors qu’un bibliothécaire, ça peut aussi dire “Chuuut !!” aux usagers pendus au téléphone… 😉

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